Cette semaine, pendant que Donald Trump négocie avec Ursula von der Leyen un accord de coopération stratégique, une vérité cruelle s'impose : là où Trump impose, l'Europe s'excuse. Là où l'Amérique défend ses usines, ses frontières et son peuple, l'Union européenne accepte de devenir une zone de transit, de dette et de dépendance.
Rappelons les faits. Trump applique une politique claire : protectionnisme assumé, réindustrialisation massive, patriotisme économique, baisse d'impôts pour les classes moyennes. L'Europe aurait pu répondre par une vraie politique de réciprocité commerciale, relancer son industrie, protéger ses savoir-faire. Au lieu de cela ? Un chèque en blanc contre des promesses verbales.
« En 2023, pour la première fois depuis 1945, les décès ont dépassé les naissances en France. »
— Les Échos
Face à ce vieillissement inéluctable, quelle réponse ? Aucune réforme structurelle, juste plus d'impôts. Bercy traque les Nicolas, la bureaucratie les asphyxie, l'idéologie les culpabilise.
Aucun plan crédible face au vieillissement démographique. Aucune vision face à la désindustrialisation. Aucune stratégie face à la dépendance énergétique. L'Europe préfère gérer la pénurie plutôt que créer de la prospérité.
Une élite déconnectée refuse de voir la réalité : le modèle social ne fonctionne plus, l'État est hors-sol, les gens décrochent.
Il y a quelques semaines, Mediapart a publié une charge contre notre mouvement. Leur méthode ? Ils n'argumentent pas, ils excommunient. Ils ne répondent pas à la réalité, ils accusent d'"autoritarisme libertarien", de xénophobie, de haine de l'impôt.
Selon eux, toute critique du système est une atteinte à la morale. Mediapart ne comprend pas le ras-le-bol fiscal, la lassitude des classes moyennes, le fossé croissant entre les actifs et l'État-providence.
C'est Nicolas qui paye est un mouvement populaire, libre, pacifique et lucide. Nous défendons ceux qui paient. Nous dénonçons l'absurde. Nous proposons une alternative.
C'est la vraie contre-offensive intellectuelle et civique, loin des caricatures médiatiques. Le succès inquiète, parce qu'il dit la vérité.
À force de mépriser ceux qui paient, on finira par les perdre. Et quand les Nicolas cesseront de payer, il ne restera plus que les éditorialistes pour pleurer.
L'accord Trump-Von der Leyen n'est qu'un symptôme de plus. L'Europe accepte sa vassalisation pendant que ses classes moyennes s'épuisent. Mais quelque chose est en train de changer. Les Nicolas se réveillent. Ils comprennent qu'ils ne sont pas le problème, mais la solution.
Plus nous serons nombreux, plus notre voix portera. C'est maintenant que tout se joue.
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Pour Nicolas, par Nicolas.
L'équipe C'est Nicolas qui paye
C'est le poids des prélèvements obligatoires dans le PIB français. Un record historique qui fait de la France le champion mondial de la pression fiscale.
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