Cher Nicolas,
Merci d'être là. Vous êtes déjà nombreux à avoir rejoint "C'est Nicolas qui paye". Grâce à vous, un vrai mouvement est en train de naître — autour d'une idée simple mais puissante : remettre du bon sens dans les finances publiques, et défendre ceux qui portent ce pays à bout de bras.
Le 15 juillet, François Bayrou a dévoilé les grandes lignes du budget 2026. Officiellement : "un tournant responsable". En réalité ? Toujours les mêmes qui paient. Toujours les mêmes qui trinquent. Ceux qui travaillent, qui cotisent, qui déclarent. Bref, les Nicolas.
Et pendant ce temps, le mille-feuille administratif perdure, les agences publiques pullulent, la gestion clientéliste continue, et le coût de l'immigration, direct et indirect, reste un angle aveugle du débat budgétaire. Le tout dans un pays dont la pyramide des âges bascule : chaque année, il y a plus de retraités, moins d'actifs. Et toujours autant de dépenses.
« Ce n'est pas de rigueur qu'il s'agit, mais de lucidité. Ce n'est pas d'austérité qu'il faut, mais de responsabilité. Et ce ne sont pas les classes moyennes qu'il faut taxer davantage : elles tiennent déjà l'édifice. »
Alors cette fois, on ne va pas se taire. On va se faire entendre. Partout. Avec de l'humour, de l'intelligence et des arguments solides. Un ras-le-bol assumé, mais structuré. Et vous en êtes la voix.
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Merci d'être là. Merci d'être Nicolas.
L'équipe C'est Nicolas qui paye
C’est le montant d’économies annoncé dans le budget 2026. Mais personne ne parle de réduire le train de vie de l’État.
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