Cher Nicolas,
Après l'ISF, l'IFI, les surtaxes et les prélèvements exceptionnels, voilà qu'on nous vend la dernière trouvaille : la "taxe Zucman". Officiellement, il s'agirait de faire contribuer "les ultra-riches" à hauteur de 2% de leur patrimoine chaque année. Dans les faits, c'est une arme de destruction massive contre la compétitivité et l'innovation françaises.
Prenons un exemple concret : Mistral AI, pépite française de l'intelligence artificielle. Sa valorisation atteint plusieurs milliards d'euros… mais son cash-flow est encore limité.
Avec la taxe Zucman, ses fondateurs – comme le jeune milliardaire Arthur Mensch – devraient payer des millions d'euros d'impôts chaque année sur une richesse "papier", sans liquidité disponible. Comme le souligne Bloomberg, ils seraient contraints de vendre leurs parts ou de les céder à l’État pour alimenter un hypothétique fonds souverain.
👉 Résultat ? Forcés de vendre ou de délocaliser. Exactement ce qu'on reproche depuis des décennies à notre fiscalité : punir ceux qui innovent et prennent des risques.
Rappelons les faits :
Et maintenant, on ajoute une taxe patrimoniale annuelle sans plafonnement ? C'est l'assurance d'achever ce qu'il reste de l'attractivité française.
Certains pensent que la fuite des capitaux n'arrive qu'aux autres. Pourtant, regardez le Royaume-Uni : longtemps place financière attractive, il a vu des milliers de fortunes partir après le durcissement de la fiscalité et la suppression du régime des "non-doms".
Résultat : des recettes fiscales en baisse et une perte d'influence mondiale.
À l'inverse, l'Italie – qui sortait d'une situation économique encore plus critique que la nôtre – a choisi de donner des signaux positifs :
Conséquence : un regain d'investissements, une relocalisation de fortunes, et une dynamique économique plus saine.
« La France n'a pas besoin d'un nouvel impôt idéologique. Elle a besoin d'un choc d'attractivité : baisse de la dépense publique, simplification fiscale, confiance redonnée aux entrepreneurs. »
La taxe Zucman, c'est l'inverse de ce dont la France a besoin : un signal de fuite envoyé à ceux qui créent la richesse.
Et comme toujours… c'est Nicolas qui paye.
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Le taux de la taxe Zucman sur le patrimoine des "ultra-riches". En réalité, un leurre fiscal : annoncée à 20 milliards, elle ne rapporterait que 5 milliards selon Bloomberg
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